Qui n’a jamais rêvé d’explorer la Corse, ses magnifiques plages, son maquis, sa culture ? Il y a tant à voir qu’il est difficile de décider où poser ses valises…
Et si la destination idéale se trouvait en Corse orientale ? Concentrant tout ce qui fait la richesse de l’île avec une côte magnifique, une plaine riche et un maquis tutoyant la haute montagne, ce petit territoire possède de sérieux atouts. Mais surtout, il a choisi un mode de développement touristique durable, loin des affres du tourisme de masse dont peuvent souffrir d’autres territoires.
Apprécier toutes les beautés de la Corse de manière responsable et en profiter pour faire de belles rencontres, c’est la recette de ma visite en Corse orientale.
Ce séjour, je l’ai organisé avec écotourisme Corse orientale, un organisme qui regroupe les acteurs du tourisme durable engagés pour leur territoire, une ressource incontournable pour un voyage dans cette partie de la Corse.
Avant d’écrire cet article, j’ai pris mon temps… Un peu a l’image du slowtourisme qui caractérise bien la Corse orientale d’ailleurs. Je suis allé deux fois dans cette partie Est de la Corse, autour de Ghisonaccia, avant de me lancer. Histoire de laisser maturer et d’aller plus en profondeur dans mes découvertes.
Je suis encore très loin d’avoir tout exploré et c’est surtout la partie nature sur laquelle je me suis concentré.
Adeptes de randonnée, d’observation animalière et de beaux paysages, vous êtes au bon endroit…
La côte orientale de la Corse, entre plages et étangs
Une des spécificités de la Corse orientale, c’est qu’elle possède une grande plaine où s’épanouissent plantations d’agrumes, oliviers, vignes et milans royaux. Si la montagne n’est pas loin, la côte n’a pas cet aspect « falaises » ou montagneux comme vers les calanques de Piana. Ici, ce sont plutôt de longues plages de sable fin parsemées de magnifiques étangs.
Mes deux visites en Corse orientale se sont déroulées durant l’automne, alors autant vous dire que la baignade et la farniente n’étaient pas mes centres d’intérêt premiers.
J’ai néanmoins pu apprécier de belles plages sauvages et désertes au coucher du soleil, des instants rares et précieux…
L’étang d’Urbino
Les étangs du bord de mer en Corse orientale sont selon moi le gros atout de cette belle côte. J’adore ces espaces de transition entre la mer et la terre, à la fois foisonnants de vie et d’un calme salvateur.
Pendant mes deux séjours, je me suis rendu à l’étang d’Urbino. Si j’y suis retourné, c’est que j’ai adoré l’ambiance du lieu au coucher du soleil. Hors saison, il n’y avait personne et j’ai pu me délecter de la vue miroir sur le lac, en me promenant le long d’une promenade en bois aménagée sur les rives. Au niveau du restaurant d’Urbino, une sorte de presqu’ile agrémentée de cabanes de pêcheur forme un ensemble harmonieux de toute beauté.
Avec les montagnes en toile de fond, les oiseaux marins et d’eau douce, le clapoti de l’eau, les lumières exceptionnelles se reflétant sur l’eau, je n’ai pas boudé mon plaisir…
Rencontre avec les flamands roses
Lors de mon premier séjour, alors que la météo était mauvaise en montagne, le littoral était plutôt dégagé. J’avais donc envie d’en profiter pour explorer le littoral. Sur les conseils de Stéphane, accompagnateur en montagne (Asarrada), je me suis dirigé vers un des étangs du bord de mer, avec l’intention de visiter d’autres lieux plus tard dans la journée.
Résultat, je suis resté toute la journée au bord de cet étang… Happé par une rencontre inattendue : une colonie de flamants roses.
Pour être honnête, je ne savais même pas qu’il pouvait y avoir des flamants rose en Corse à cette époque (nous étions en novembre).
Etant seul et déterminé à rester très discret, je me suis approché de la colonie pour passer un long moment à observer les volatiles danser sur l’eau et s’envoler par petits groupes.
Ce jour là, j’ai même eu la chance de croiser un balbuzard pêcheur. Je ne suis pas prêt d’oublier cette belle surprise, c’est toujours plus savoureux quand on fait ce genre de découverte impromptue.
Pinia, entre plage sauvage et forêt de pins
Logeant près de Ghisonaccia, en bord de mer (au perla di mare), j’ai remarqué des plages sauvages à proximité en me baladant le soir et un massif forestier attenant à ces plages.
Après renseignement, il s’agit de la forêt domaniale de Pinia, la dernière grande forêt de pins maritimes en bord de mer. Ces forêts littorales sont devenues très rares en Méditerranée, donnant à cet endroit un caractère particulier.
Bordée d’une longue plage de sable blanc à l’est, de l’étang d’Urbino au nord, la parcourir à pied est un plaisir simple que seules les forêts arrivent à me procurer. Je ne saurais expliquer pourquoi j’aime tant me promener seul en forêt, peut être cet effet cocon, les bruits doux de la nature, les odeurs, l’occasion de se vider la tête…
Site naturel de Terranzana
Pour terminer ce tour d’horizon de la côte orientale, je me suis rendu au site naturel de Terranzana, entre les étangs de Terranzana et de Diane. Ce site constitué d’arbustes, de petits arbres à la végétation spécifique des bords de mer méditerranéen permet de s’élever un peu pour admirer le littoral, tout est restant en pleine nature.
Ce site protégé est probablement le meilleur endroit pour randonner sur le littoral en Corse orientale. Entre points de vue et étangs, bord de mer et chemins ombragés, c’est une superbe diversité de paysages en seulement quelques kilomètres.
Pour ne rien gâcher, j’ai aperçu au loin quelques flamants roses. Je ne me suis pas approché, les sentiers ne menant pas jusqu’à eux.
La plage est également superbe, avec une tour gênoise et de petites falaises de toute beauté. Il ne faisait pas beau ce jour là, mais il n’ y avait pas besoin de soleil pour saisir la beauté des lieux.
La plaine de Corse orientale – entre nature et culture
La Corse orientale est un territoire singulier de l’île de beauté. Cette singularité est largement due à sa géographie et la présence de la plaine orientale. Dans une Corse très vallonnée, cette large plaine devient un espace à part influent sur la nature bien sûr, mais aussi les Hommes.
Si l’agriculture est présente sur beaucoup de territoires corses, on peut dire que la plaine orientale est le terreau de la Corse ! De par son histoire, le secteur agricole a trouvé un large espace pour se développer. Oliveraies, vergers, vignes, et quelques élevages viennent trancher avec l’agriculture de montagne du reste de l’île.
Des cours d’eau source de vie
L’une des caractéristiques naturelles de la plaine, ce sont ses zones humides. Ces espaces gorgés d’eau source de vie. D’ailleurs, c’est un des rares endroits de France où on peut trouver des cistudes, ces tortues d’eau douce menacées d’extinction.
Pour explorer un lieu, j’adore décaler mon regard en allant sur l’eau. Cela permet de faire un pas de côté, de se mettre dans une ambiance paisible pour mieux apprécier.
Je suis donc allé naviguer sur le Tavignanu qui prend sa source dans les montagnes au lac de Ninu, parcours la plaine, et vient se jeter dans la mer à Aleria.
Après un brief de Denis qui gère le club nautique d’Aleria, je me lance en canoe sur l’eau. J’avais le choix entre aller vers l’aval, jusqu’à la mer, ou l’amont dans les terres.
Je suis allé en amont pour deux raisons principalement : une belle vue sur le fort de Matra et une myriade de nids de guêpiers dans les falaises sablonneuses des rives du Tavignanu. En automne, ils ne sont plus là, mais j’avais tout de même envie de voir où ils nichent, au pied même du fort.
Avec plus de temps et dans les bonnes conditions, j’aurai aimé remonter bien plus haut le fleuve pour m’amuser en eau vive, ce sera pour une autre fois…
Club nautique d’Aleria (seule école de formation en Corse affiliée EFCK)
Le royaume du milan et du cerf Corse
Vous l’aurez compris, je suis un fan absolu de faune sauvage, c’est en grande partie ce qui a dirigé mes séjours en Corse orientale. L’observation de la faune permet de se projeter en pleine nature, mais aussi de rencontrer les personnes qui cohabitent avec cette faune, soit parce qu’elles oeuvrent à la protéger, à la faire connaitre, soit parce qu’elles la côtoient, voire s’en inspirent.
Dans la plaine orientale, deux espèces emblématiques de Corse se retrouvent en abondance.
Le milan royal d’une part, ce magnifique rapace se trouve dans une concentration incroyable. J’en ai vu des dizaines, peut être même des centaines !
Alors que sur le continent on croise davantage du milan noir ou des buses variables, le milan royal est ici omniprésent.
J’ai passé des heures à l’observer tournoyer et chasser, à le photographier sous tous les angles, au pied d’arbres remarquables multicentenaires dans les environs de Ghisonaccia.
L’autre star de la plaine orientale, c’est le cerf corse, une sous espèce de cerf élaphe. Plus trappu que le cerf du continent, il avait quasiment disparu de Corse dans les années 80-90.
Un programme de réintroduction mené par le parc naturel régional de Corse a connu un grand succès, permettant à ce sublime cervidé de retrouver sa place dans le maquis.
Seul hic, il s’est tellement plu dans la plaine, avec ses plantations fruitières notamment, comme autant de friandises disponibles à volonté, qu’il cotoye de très près les habitations. N’étant pas chassé, il a pu se reproduire et créé quelques dégâts dans les jardins et auprès des agriculteurs. Rien d’insurmontable, le parc proposant des solutions pour trouver le délicat équilibre entre vie sauvage et activités humaines.
J’ai eu la chance de suivre Stevan (responsable du programme) sur le terrain, à la recherche de cerfs pour en apprendre plus sur ses spécificités, son milieu de vie. Une rencontre passionnante, à la fois avec cet animal et les personnes oeuvrant à sa protection.
Retrouvez mon vlog sur la faune en Corse orientale
Retrouvez toutes nos vidéos sur youtube
Le maquis et la haute montagne – paradis de la randonnée en Corse orientale
Le massif de Bavella
En Corse, il existe deux populations de mouflons, une dans le massif du Cintu, l’autre dans le massif de Bavella. Le mouflon corse, c’était la principale raison de mon premier voyage en Corse orientale. J’avais envie de découvrir cet animal emblématique, mieux le connaitre, voir dans quel environnement il évolue, les problématiques auxquelles il est confronté.
Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il a bon gout… Le massif est absolument magnifique, avec ses éperons rocheux acérés lui donnant un aspect dramatique. Surtout en automne où la brume et l’humidité renforcent les contrastes.
La partie la plus connue du massif, les aiguilles de Bavella, est située dans l’Alta Rocca. Si vous vous y rendez, je vous conseille fortement de privilégier le hors saison, en été il y a beaucoup de monde. Dans tous les cas, les consignes les plus importantes sont d’être silencieux et de rester sur les sentiers.
Et si vous avez la chance de rencontrer un mouflon en forêt, surtout ne vous approchez pas et restez le plus discret possible. Le mouflon est très sensible au dérangement et c’est la première cause de sa disparition (l’espèce est menacée d’extinction dans ce massif). Dites vous bien qu’un dérangement, ce n’est pas un drame, mais 10-20, 50 fois dans la journée, cela l’épuise, l’empêche de se nourrir, de se reproduire…
A propos, vous verrez certains guides proposer des sorties mouflon autour de bavella, tentant, non ! Sauf que les observations se font en groupe et en forêt, ce qui signifie que si vous voyez un mouflon, ce sera un mouflon en train de courir parce que vous l’avez effrayé… Donc s’il vous plait, n’y prenez part. Il serait dommage de contribuer à sa disparition en voulant l’admirer.
Il existe bien d’autres sentiers de randonnée dans le massif autre qu’autour des pics de Bavella, avec des milieux plus ouverts. Vous aurez plus d’occasions d’observer le paysage, absolument majestueux.
Voir la charte du randonneur éco-responsable pour connaitre les bons gestes à adopter
Le refuge de Tova
En parlant de milieu ouvert, permettant de randonner en admirant un panorama allant jusqu’à la mer, d’éventuellement observer des mouflons à bonne distance sans les déranger (à condition de bien adapter votre comportement), je vous recommande chaudement d’aller vers le refuge de Tova.
Tout y est sublime, à condition d’avoir du temps et de l’énergie. Car l’accès n’est pas simple. Il est d’abord nécessaire de monter par une piste forestière assez longue et pas super intéressante avant de parvenir au refuge et commencer à marcher dans un paysage ouvert. La piste est fermée aux voitures, sauf si vous avez de la chance, ou la clé…
Une fois en haut, nous avons poussé jusqu’à la punta di u Furnellu, avant de longer la crête pour voir la vallée où coule le ruisseau d’Asinau. D’ailleurs, le GR 20 passe non loin de là.
C’est dans ce coin que nous avons eu la chance d’observer un petit groupe de mouflons corse. Nous étions à bonne distance, au moins 200 mètres, suffisamment loins et discrets pour ne pas les déranger et les admirer pendant quelques dizaines de minutes.
Mais l’effort en vaut vraiment la peine, vous serez récompensé par un environnement splendide, en pleine nature. Sans doute ma plus belle expérience en Corse Orientale.
Randonnée Tova – Punta u furnellu – Bergerie d’Asinau (aller retour)
Départ refuge de Tova
Distance 12km
Dénivelé positif 400 m
Deux possibilités pour rejoindre ce tronçon
Départ Solaro – refuge de Tova (aller-retour)
Distance 24km (mieux vaut dormir au refuge de Tova, non gardé)
Dénivelé positif 810 m
Départ aiguilles de Bavella – Bergerie d’Asinau (GR20) – aller retour
Distance 9km
Dénivelé positif 400 m
Retrouvez mon vlog sur le mouflon en Corse orientale
Les pozzines – le vallon des pozzis
Les pozzines, c’est une curiosité géologique assez spécifique à la Corse. Il s’agit de vastes pelouses parsemées de trous d’eau, en fait des tourbières issues d’anciens glaciers (suite à leur fonte, des lacs se sont formés, progressivement remplis de sédiments).
Je n’ai pas eu la chance d’aller randonner vers ces paysages si particuliers. Mais je vous en parle tout de même car je pense que c’est une randonnée vraiment magnifique. En tout cas si j’en juge les photos que j’ai vu et les dires de certains ayant fait ce parcours…
Aussi, c’est un espace fragile avec des risques de surfréquentation en été, alors soyez vigilants sur votre impact, privilégiez le hors saison et faites vous accompagner par un guide si possible (il saura vous montrer les meilleurs coins et vous donner plein d’explications sur ce lieu étonnant).
Randonnée i pozzi – les écuries de Sampiero (aller retour)
Durée 5h
Dénivelé positif 550 m
Si vous souhaitez être accompagné d’un guide pour ces différentes randonnée, je vous conseille de faire appel à Stéphane Colombani d’Asarrada. Ce fut une belle rencontre, il m’a très bien accompagné et appris énormément sur les paysages et la culture en Corse orientale.
Et le patrimoine en Corse orientale ?
N’allez pas croire qu’il n’y a pas de patrimoine ou de sites historiques en Corse orientale. Je n’en ai pas beaucoup parlé, tout simplement parce que je n’ai pas creusé cet aspect, étant davantage axé nature. Mais les amateurs de patrimoine et d’histoire sauront trouver leur bonheur, entre les tours gênoises, les forts, les villages perchés…
Guide pratique tourisme – visiter la Corse orientale
Habituellement, nous faisons dans nos articles une partie pratique très détaillée, avec les hébergements, les activités etc.
Une fois n’est pas coutume, ce sera beaucoup plus simple ce coup-ci. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il existe une ressource incontournable et très pertinente pour préparer son séjour : écotourisme Corse orientale.
Comment se rendre en Corse orientale
Si vous ne résidez pas en Corse, deux options s’offrent à vous : l’avion ou le ferry
Si l’avion est plus rapide et souvent moins cher, il est aussi moins écologique… A vous de voir selon votre buget, vos priorités etc. Si vous choisissez cette option, je vous conseille le comparateur Kayak ou bien google flights.
Concernant le ferry, il y a beaucoup d’options concernant les trajets que ce soit au départ du continent en France ou en Italie. Côté Corse, le plus proche sera Bastia pour vous rapprocher de la Corse orientale.
Trouver et réserver des billets de ferry pour la Corse (avec ou sans voiture)
Trouver une voiture de location en Corse
Petite particularité Corse, les voitures de locations sont obligatoirement hybrides ou électriques. Pour trouver une voiture de location en corse au meilleur prix, je vous conseille le comparateur discover cars. En plus d’offrir le meilleur rapport qualité prix, il propose une assurance complémentaire 0 franchise très abordable (contrairement à celle des loueurs généralement hors de prix). Vous n’aurez pas de mal à trouver dans les ports ou près des aéroports ainsi que dans les grandes villes.
LA ressource incontournable pour préparer son voyage : écotourisme Corse Orientale
Tout est dit, sur leur site, vous trouverez tous les acteurs engagés pour un tourisme durable en Corse orientale, que ce soient des hébergements, des activités outdoor et culturelles, des restaurants et mêmes de producteurs.
Mon séjour s’est déroulée à 100 % avec l’aide de ce réseau pour les aspects pratiques et les activités touristiques.
Je ne saurais donc que trop vous recommander d’aller vous renseigner auprès de ce réseau pour organiser votre voyage en Corse orientale.
Réunis autour d’une charte de bonnes pratiques, vous trouverez des personnes passionnées par leur territoire.
Que faire en Corse orientale ?
Un petit résumé totalement subjectif de que faire en Corse orientale :
- Randonner en Corse orientale
- vers le massif de Bavella,
- autour des pozzis,
- vers le refuge de Tova
- au monte renosu et ses lacs d’altitude
- dans le site naturel de Terranzana
- Remonter ou descendre le Tavignanu en kayak / canoe
- Observer les oiseaux autour des étangs d’Urbino, de Diane, de Terranzana et de Palo
- Se promener dans la forêt de Piana jusqu’aux plages sauvages
- Se perdre en vélo dans la plaine orientale à la recherche des milans royaux, cerfs corses et arbres remarquables
- Découvrir les villages perchés au dessus de la plaine orientale
- Rencontrer les artisans et producteurs membres d’écotourisme Corse orientale
Ces voyages ont été réalisés en partenariat avec ecotourisme Corse orientale. Un grand merci pour leur accueil et leurs valeurs !
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Seb
Avant, j'avais un vrai travail dans le domaine de l'éducation à l'environnement... Maintenant, je raconte mes voyages et j'assouvis mon obsession de dénicher les meilleures bons plans. Ah, aussi je prends des photos et fais des petites vidéos.
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C’est top^^ Hâte d’y aller un jour~
On vous le souhaite !
J’adore tes photos de montagne brumeuse et acérée, et de sunset balnéaire tout doux ! Un beau voyage onirique et authentique.
Merci ! Elles représentent bien ce que ce territoire m’a inspiré : une diversité impressionnante, une part de mystère et une part de caractère.