L’Océanie, c’est l’autre bout du monde pour les européens, un continent d’eau et de feu. L’eau avec la grande barrière de corail, le feu avec la ceinture du Pacifique et ses volcans. Véritable fantasme pour les amateurs de nature, de beaux paysages, l’Océanie c’est un rêve de naturaliste.
Nous avons demandé à 12 blogueurs voyage fous de nature de nous raconter le parc naturel qui les a le plus marqué en Océanie. Le dernier volet d’une série visant à vous faire découvrir quelques uns des plus beaux parcs naturels du monde.
De L’Australie au Vanuatu, voici leur sélection. Préparez à être éblouis : lagons azurés, volcans sulfureux, forêts profondes et même déserts ocres vous attendent.
Parc national de Karijini en Australie par Stories of inspiration
Le Karijini National park, c’est un petit paradis en plein cœur de l’Australie Occidentale. Ce parc naturel, qui s’étend sur plus de 6 274 km², est considéré comme l’un des plus beaux d’Australie. Le Karijini, c’est le terrain de jeu idéal pour les amoureux de nature, de randonnée et de photographie.
Mais le véritable joyau du Karijini National Park, ce sont certainement ses piscines naturelles. Au cœur des gorges gigantesques, entourés d’eucalyptus verdoyants, les bassins aux eaux fraîches et limpides sont d’une beauté époustouflante. Si vous êtes de passage, ne manquez pas Circular Pool et Fern Pool, les deux plus belles piscines naturelles du Karijini.
Si vous vous y rendez, n’hésitez pas à passer la nuit dans le parc. Les couchers de soleil dans le bush sont très souvent exceptionnels et ceux auxquels nous avons assisté dans le Karijini National Park étaient vraiment magiques. Et si le ciel est dégagé, vous pourrez aussi admirer les étoiles et la Voie Lactée !
Marina – Stories of inspiration
Parc national des Flinders Ranges en Australie méridionale par Nowmadz
Les Flinders Ranges, l’un des plus anciens sites naturels au monde, l’un des plus secs, et l’un des plus grands aussi. L’Ouest américain tout entier peut bien aller se rhabiller : s’étalant sur plus de 400 km, les Flinders Range forcent le respect, intiment au silence et à la contemplation.
Laissant Wilpena derrière nous, nous arrivons à Sacred Canyon, et découvrons des peintures rupestres aborigènes millénaires, sous l’oeil acéré d’un aigle royal. Nous passerons la nuit suivante garés au milieu de nulle part, sous un ciel constellé d’étoiles, entourés de kangourous curieux et des bruits de la nature. Aujourd’hui en y repensant, on se demande presque si l’on n’a pas rêvé cet endroit. Magique et hors du temps.
Lydia – Nowmadz
Parc national des Blue mountains en Australie par La page à Pageau
Le parc national des Montagnes bleues (« Blue Mountains National Park ») se situe à environ 80 kilomètres à l’ouest de Sydney. J’y ai été en novembre 2011 et j’avais payé – de mémoire – environ 60 $ US pour la journée. Le prix incluait transport, entrées sur les sites et services d’un guide. Mon auberge, Elephant Backpacker, offrait l’excursion.
Une fois de l’autre côté de la vallée, on a pris un funiculaire. Il a glissé pendant quelques instants dans un passage sans éclairage, au grand bonheur des claustrophobes. Après une boucle dans la jungle, où j’ai pu constater que les lianes sont en fait rugueuses, on est retournés à notre point de départ.
Arrêt repas dans le village de Leura. Puis, on s’est dirigés vers une autre section du parc. L’objectif : un plateau rocheux à partir duquel on pouvait admirer le parc. Le rebord du plateau coïncide, selon l’angle de vue, avec la ligne d’horizon, créant ainsi un effet saisissant. Notre guide nous a d’ailleurs donné une bonne frousse en simulant une chute de la falaise. Une corniche a bien sûr freiné sa « chute ». Facétieux personnage.
En chemin, notre guide nous a ordonné de l’avertir en cas de rencontre avec un serpent. C’est qu’ils ont tendance à être venimeux, ici. On devait aussi aller voir des kangourous, mais la présence de serpents dans le secteur rendait la visite trop dangereuse. Dommage. J’en rêvais pourtant depuis les rediffusions de « Skippy the Bush Kangaroo » de mon enfance. On a terminé la journée en allant voir de l’art rupestre aborigène. On nous a enfin menés à un point d’embarquement d’un ferry qui allait nous ramener au port de Sydney.
Même si je n’ai passé qu’une journée dans les Montagnes bleues, j’ai aimé mon excursion là-bas. Il est par ailleurs possible d’y faire de plus longues randonnées ou d’y camper. Et, avec un peu de chance, vous pourrez même voir des kangourous.
Parc national de Freycinet en Tasmanie (Australie) par Journaux de Voyage
Ce n’est pas faut d’avoir été prévenu. Lorsque l’on se rend à l’entrée du parc national de Freycinet, on se prend une grosse claque. Le parc est une péninsule montagneuse qui se jette dans la mer, les plages de sables blanc et l’eau bleu turquoise parachèvent la magie des lieux.
Admirer un coucher de soleil sur la Wineglass Bay, une plage en forme de croissant, c’est absolument unique. Grimper le raidillon Mont Amos pour disposer d’une vue à la fois sur Wineglass Bay et Hazards Beach c’est toujours aussi unique. Ressentir la vie et la joie des animaux sauvages, se baigner dans l’eau fraiche mais transparente est encore plus ressourçant. Bref, si lors de votre passage en Tasmanie vous faites un tour au parc national Freycinet, vous ne risquez pas de l’oublier !
Emmanuel – Journaux de voyages
Parc national de l’Haleakala à Maui (Hawaii) par Pixfromtheroads
Le Parc national de l’Haleakalā abrite le plus grand volcan endormi de l’île de Maui. Culminant à plus de 3 000 m, son nom signifie « la maison du soleil ». Son sommet constitue le point de départ idéal pour de belles balades en nature et admirer de magnifiques levés et/ou couchers de l’astre du jour !
Avec ses paysages lunaires entre ciel et terre, vous serez littéralement, une fois arrivé au sommet, au-dessus des nuages : une sensation étrange, rare même, que celle de se sentir seule au monde sur une autre planète !
Pour moi, la meilleure façon de découvrir le Parc national de l’Haleakalā est sans aucun doute de parcourir ses multiples chemins de randonnées. J’ai pour ma part eu la chance de marcher au cœur du cratère volcanique et de faire par exemple le tour de la caldera. Et si je profitais à fond de ce paysage fantomatique indéniablement extra-ordinaire, c’est la palette de couleurs alentour qui m’aura pourtant le plus séduite : sublime et fascinante à la fois. La lumière change en effet constamment d’intensité et de teintes au gré des rayons du soleil : les rouges prennent parfois des tons violacés tandis que de-ci de-là, on distingue quelques beaux oranges, aux dégradés incroyables. Le contraste est tout aussi saisissant entre ce décor minéral étonnant, le bleu du ciel et le blanc immaculé des nuages tout autour.
Si rejoindre le sommet de l’Haleakalā vaut réellement le coup, soyez toutefois prudent car la route qui mène au parc est souvent étroite et très sinueuse. De plus, à plus de 3 000 m d’altitude, l’air se raréfie en oxygène : aussi, je vous recommande, en particulier si vous souffrez de problèmes respiratoires, d’être très vigilants. Pour tous les autres, y compris si vous êtes sportif, votre corps se fatiguera plus rapidement. Dans tous les cas, ne surestimez pas vos capacités physiques, surtout si vous prévoyez d’aller randonner. Prévoyez en outre de bonnes chaussures de marche, de l’eau et des en-cas à grignoter.
Pour découvrir ce petit bijou situé au cœur du Pacifique sud, sur l’île de Maui, prenez également une veste chaude, voire même un bonnet et des gants pour les plus frileux, car les températures frisent une fois au sommet les 10°C (voir moins). Mais après tout, c’est aussi cela le charme d’Hawaii : passer d’un climat tropical à un froid polaire en quelques heures de route à peine… Vous pourriez même avoir un peu de neige en hiver ! Incroyable mais vrai.
Hawaii est décidément une destination qui ne finira jamais de me surprendre et qui réserve de très belles surprises, au-delà de son littoral ourlé de cocotiers et de ses plages de sable fin.
Elodie Cabrera – pix from the roads
Le lagon de Nouvelle Calédonie par Schuldi’s world
En venant vivre en Nouvelle-Calédonie, je n’avais pas vraiment d’idées sur les paysages que j’allais découvrir ni sur les richesses que renferme la mer de corail. Depuis 2008, 15000 des 24000 km2 du lagon ont été inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO, dès le premier tour et à l’unanimité (ce qui est très rare). C’est dire la beauté des fonds marins.
Si votre chemin croise celui du lagon calédonien, n’oubliez pas de ne laisser aucune trace de votre passage : ne rien y jeter évidemment, faites attention aux coraux avec vos palmes, ne prélevez aucune espèce vivante (même les coquillages trop méga beaux !) et pensez à choisir une crème solaire adaptée (qui ne nuit pas au corail !).
Schuldi – Schuldi’s World
Parc national d’Arthur’s pass en Nouvelle Zélande par Un voyage au Yukon
Lorsque vous voyagez en Nouvelle-Zélande et, plus précisément, lorsque vous voyagez sur l’ile du sud, vous ne pouvez pas rater cet énorme massif montagneux situé en plein milieu et qui semble tracer une frontière, divisant le pays en deux. Randonnées démentielles et paysages superbes voilà ce qui vous attend à Arthur’s Pass !
Bien plus tard, je suis repassé avec une petite pointe de nostalgie en ces lieux, pendant une séance d’autostop. Ma conductrice m’a fait visiter quelques recoins cachés avant de me déposer au milieu de nulle part… Mais c’est une autre histoire !
Cédric – Un voyage au Yukon
Parc de Tongariro en Nouvelle Zélande par Évasions gourmandes
La Nouvelle Zélande, pays du bout du monde aux antipodes de la France et terre de contrastes où l’Homme vit en parfaite harmonie avec la nature, où l’on se sent tout petit face à tant de beauté… Depuis que nous sommes partis en Nouvelle Zélande vivre une aventure extraordinaire en van pendant près de 4 semaines, il n’y a pas un jour où nous ne pensons pas à ce pays.
L’un des endroits qui nous a le plus marqué est le Parc National du Tongariro, dominé par le volcan Ngauruhoe,. Nous y avons effectué le célèbre Tongariro Alpine Crossing, une randonnée de 19 kilomètres dans un décor à couper le souffle.
Cette journée fut assez éprouvante physiquement, cependant elle reste l’un de nos plus beaux souvenirs de ce voyage !
Claudia – Évasions gourmandes
Île de Pâques au Chili par PYM autour du monde
Il y a des bouts de monde qui font rêver… Des lieux emplis de mystères par leur histoire et les légendes qui y sont nées. C’est le cas de ce confetti de terre perdu au milieu du Pacifique : l’Ile de Pâques ou Rapa Nui.
C’est un voyage dans le voyage que de se rendre sur l’Ile de Pâques. Accessible seulement depuis Santiago (Chili) et Papeete, nous avons compris en survolant ce bout de terre le pourquoi du mystère qui l’entoure.
A l’est de l’île, Rano Raraku, « l’usine » à moaïs met en ébullition les cerveaux des scientifiques pour savoir comment ils ont pu être transportés de ce lieu vers les quatre coins de l’île. Les 15 frères (moaïs) de Ahu Tongariki, comme on aimait les appeler, veillent sur l’île, ses habitants et les statuts « échouées » sur les flancs du volcan. Ce lieu est idéal pour admirer le lever du soleil et se rendre compte de la magie des lieux et de la nature qui s’éveille.
Au sud, le sommet du cratère Ranu Kao offre un panorama sur l’île et l’océan. C’est du haut de ces falaises donnant directement sur l’océan et du village Orongo (vestiges encore visibles) qu’est née la légende de l’homme-oiseau, rite rapa-nuite permettant aux hommes les plus forts des différentes tribus de l’île de s’affronter pour définir le plus fort de l’île. A l’ouest, Ahu Tahai est un lieu magique pour observer le soleil ce coucher à travers les moaïs.
Entre chacun de ces lieux, rien de mieux que de profiter des piscines naturelles où viennent nager des tortues, découvrir de superbes plages surveillées par des moaïs (à défaut de beaux maître nageurs), randonner sur des chemins à travers plaines, collines et moaïs. Le tout en s’imprégnant de la tranquillité et de l’ambiance mystérieuse de l’île, et en discutant avec les habitants aux détours de routes.
Prisca – Pym autour du monde
Taha’a et Raiatea en Polynésie française par Mel Loves travel
Lorsque l’on débarque sur le tarmac de l’aérodrome de Raiatea, difficile de croire que nous sommes sur la troisième île la plus peuplée de Polynésie française ! Si Tahiti vous semble être à l’autre bout du monde, Raiatea semble encore un cran plus loin… Mais ce qui frappe d’abords, c’est sa douceur. Pas de pic acéré comme ses sœurs des îles hautes mais une île verte faite de collines où paissent les vaches et les chevaux.
Si Raiatea et Taha’a ne forment pas vraiment un parc, elles ont pas mal de particularités qui font de ces deux là des îles à part en Polynésie. Prenez la route circulaire de Raiatea en vélo ou en scooter pour grimper sur le Mont Tapioi et avoir une vue imprenable sur le lagon et Taha’a, enfoncez-vous dans le cœur de l’île pour mériter de voir les 3 Cascades ou pagayer sur la seule rivière navigable de Polynésie, la Fa’aroa ou encore partir à la recherche du tiare apetahi, une fleur à demi-corolle, une des plus rares de Polynésie et qu’on ne trouve qu’ici. Mais la plus grande richesse de Raiatea, c’est son « mana ». Le mana, c’est une espèce d’aura, une puissance spirituelle conférée par son statut d’île sacrée : Raiatea possède le plus grand marae de Polynésie. Un marae est un centre religieux, spirituel, social que l’on retrouve partout de Hawai’i à la Nouvelle-Zélande.
Raiatea serait Hawaiki, l’île mythique dont seraient partis les Polynésiens avant d’affronter le Pacifique sur leurs pirogue et de s’éparpiller au grès de l’océan vers Hawai’i, l’ïle de Pâques et Raiatea. Le marae de Taputapuātea est le marae « international » où tous les Polynésiens peuvent se rendre et retrouver leurs racines.
Taha’a quand à elle est surnommée l’île vanille. Celle que l’on nomme la vanille de Tahiti (plus vendeur comme appellation) est l’or noir de Taha’a et visiter une vanilleraie vaut le coup mais pour moi, son bonheur est ailleurs… Plus prosaïquement, dans la culture de perles dans ses baies bien protégées mais surtout, dans ses jardins de corail peuplés par des milliers de poissons multicolores.
Jamais je n’avais vu un corail en aussi bonne santé ni autant de poissons… Et comme on les trouve dans le lagon, les profondeurs sont vraiment minimes au point même qu’on peut se tenir débout pour admirer les poissons perroquets ou autre poissons-anges. Mais le plus fun, c’est de faire du snorkeling en dérivation au large du Taha’a Island Resort & Spa. On se laisse porter sans même devoir nager par les courants, en évitant de se frotter de près au corail et on ouvre grand les yeux en ayant envie que ça ne finisse plus.
Bon, et maintenant, quand part le prochain avion ?
Melissa – Mel Loves travel
Mont Yasur au Vanuatu par AF News Travel
Les 2h de route défoncée dans un 4×4 pour l’atteindre pourraient en décourager plus d’un. Une fois arrivé sur place et après avoir grimpé en haut du volcan, on se retrouve juste au pied du cratère, et c’est là que le temps s’arrête… Le grondement dans les oreilles, la peur au ventre, l’excitation d’un gosse comme le jour de Noël… On attendait ça depuis très longtemps, ça a dépassé nos attentes ! Nous ne sommes rien, la terre peut nous reprendre ce qu’elle nous a offert à tout moment… Juste là à nos pieds, la terre s’ouvre, son cœur bat et son sang jaillit…On a eu la chance de pouvoir y aller deux fois, la première de nuit très impressionnante, mais encore plus le lendemain au coucher de soleil quand les couleurs de la lave commencent à apparaître dans les lueurs flamboyantes du soir.À chaque détonation on retient son souffle, on se sent repoussé par sa force, la peur au ventre qu’elle soit plus forte que la précédente…Après plus de 3h en haut du volcan a s’émerveiller, il est temps de partir. Arrivés en bas, dernier regard en arrière, nous savons que nous avons vécus un moment magique et privilégié. Nous disons au revoir au volcan le remerciant de cette expérience incroyable. La détonation qui suivit fut l’une des plus violente, projetant la lave à l’endroit même où nous étions quelques minutes auparavant…
Île Espiritu Santo au Vanuatu par Lovetrotters
Espiritu Santo, ou Santo pour les intimes, est un véritable terrain de jeu pour les amoureux de nature et d’aventure. La plus grande des îles de l’archipel du Vanuatu, perdue au milieu de l’océan Pacifique, est restée protégée du tourisme de masse. En explorant ce territoire encore vierge et sauvage, on se sentait réellement dans la peau d’Indiana Jones.
Explorer Santo, c’est aussi découvrir les plus beaux blues holes du Vanuatu, ces résurgences de sources d’eau douce qui en traversant le sous-sol calcaire et la structure corallienne de l’île, donnent lieu à des piscines naturelles pures d’un bleu tellement électrique qu’on jurerait qu’on y a rajouté du colorant.
Et bien sûr, l’île de Santo est bordée de plages paradisiaques et d’îlots tropicaux plantés de cocotiers. Ses eaux translucides pleines de vie en font un paradis pour les plongeurs. Nous avons non seulement exploré certains des plus beaux récifs naturels de l’Océanie mais aussi plongé dans la plus grande épave au monde, une expérience inoubliable !
Nadia & Mike – lovetrotters
Vous en voulez plus ? Regardez la sélection des plus beaux paysages et parcs naturels d’Asie, d’Europe, d’Afrique, d’Amérique du Sud et d’Amérique du Nord !
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Laura
Droguée aux voyages depuis maintenant plus de 15 ans, je sillonne la planète avec Seb à la recherche de petites ou de grosses bêtes. Des forêts luxuriantes jusqu'aux déserts lunaires, c'est un terrain de jeu parfait pour m'adonner à ma deuxième passion : la photo.
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Sublime article. Je connais certains de ces lieux et je rêve d’autres. Quelle claque, quelle évasion !
A Hawaï, il y a un autre parc qui m’a fascinée : Hawaii Volcanoes National Park, autour du volcan Kilauea. Des visions époustouflantes, sublimes !
Oh Hawaï est certainement une des destinations en haut de notre liste de voyages à faire. Nous sommes des férus de volcans en tous genres, alors forcément Hawaï est incontournable.
L’Océanie me donne parfois l’impression d’être un grand parc naturel à elle seule. J’ai été soufflée lors de notre séjour en Australie… Litchfield, Kakadu, Nimitluk, Blue Mountains, Dandenong Ranges, à peu près tout de l’outback… juste dans le Victoria, l’offre est saisissante. Et que dire de la Nouvelle-Zélande?
Là, j’ai des envie des Vanuatu encore plus fortes. Les photos de cet article sont magnifiques et contrastent bien avec l’automne québécois qui m’entoure et me les gèle ;)
Effectivement ce continent est particulièrement sauvage alors 12 propositions ce n’est certainement pas suffisant, mais ça donne déjà l’eau à la bouche à ce que je vois. Le vanuatu semble attirer tous les suffrages, cela pique notre curiosité davantage.
Ravie d’avoir pu participer à ce chouette article ! Il me donne envie de repartir en Océanie !
Merci à toi, ton récit et ta photo nous donnent sacrément envie de prendre un billet d’avion illico presto !
Ah, le Vanuatu, il y a tellement de choses merveilleuses! Je ne saurai pas quoi choisir !
Tongariro est un très beau souvenir également :-)
le vanuatu sonne vraiment comme une destination mystérieuse et hors des sentiers battus, ça nous plairait beaucoup d’y aller aussi. Qui sait ? ce sera peut être plus tôt que prévu …
Ça vend du rêve ! Il y a tant de magnifiques parcs à travers le monde !
En tout cas, je viens d’apprendre que l’île de Pâques faisait partie de l’Océanie :)
Ça veut dire que ici quelques mois on ira en Océanie alors :D
Ah oui, on s’est posés la question sur l’île de Paques. Disons que géographiquement c’est en Océanie et administrativement c’est en Amérique du sud ;)
Vous nous ferez un retour sur ce voyage à venir, nous n’avons pas encore eu la chance de visiter cette île si mystérieuse.
Ça fait mal, ça fait très mal cet article !!! C’est superbe et surtout, mais surtout, comment on va faire maintenant, on a déjà une liste longue comme le bras d’endroits qu’on voulait visiter, ben maintenant elle est longue comme 2 bras… En tout cas, vraiment chouette cet idée d’articles collaboratifs. Ça balance du lourd !
C’est clair, on est des vrais sadiques, ça devrait pas être autorisé de faire ça. Et le pire c’est qu’on est les premières victimes de notre sadisme ce qui fait de nous de réels masochistes. On est super contents de ses articles collaboratifs, ils nous ont permis de redécouvrir de supers blogs et de magnifiques lieux.
Nous revenons d’une semaine sur l’île de Pâques et franchement, c’est magique : les moai, le mana, les paysages où les arbres ont définitivement disparu, les mystères de la civilisation Rapa Nui. Tout concourt à créer une atmosphere presque mystique. Un des plus beaux lieux que nous ayons eu l’occasion de visiter!
Bonjour Fabrice,
Cette île a l’air effectivement magique. Qui sait un jour nous aurons peut être la chance de la découvrir !