Retrouver l’Afrique de l’Ouest. Retrouver les couleurs, les senteurs, la chaleur. Retrouver les sourires, l’accueil, la théâtralité des habitants. Cela faisait 10 ans que j’attendais de retourner dans cette partie du monde, avec comme souvenir mes premiers voyages hors de France, ceux là même qui m’ont fait basculer vers une vie plus nomade.
De l’Afrique de l’Ouest, je ne connaissais que le Sénégal, alors partir à la découverte d’un autre pays m’a procuré un sentiment d’excitation mêlé de crainte. Serai-je autant bouleversé, enchanté, conquis ? N’ai-je pas trop idéalisé ces premières expériences ?
Croyez moi, la réponse est NON. La route des pêches au Bénin m’a offert les mêmes moments d’euphorie, d’étonnement, de montagnes russes émotionnelles.
Premiers pas au Bénin, dans le tourbillon émotionnel
Mon arrivée au Bénin, je n’ai pas vraiment eu le temps de m’y préparer. Tout s’est déroulé très rapidement : l’agence double sens avec qui je suis parti me confirme que le voyage aura bien lieu le dimanche. Je fonce à Paris faire mon visa le mardi. Jeudi j’ai mon visa. Vendredi je décolle.
Pris dans ce tourbillon, je n’étais pas préparé à la claque que je me suis pris en arrivant à Cotonou. Comme une remontée d’acide, une déflagration nostalgique, un rappel à l’évidence : ah oui, c’est vrai, c’est comme ça l’Afrique de l’Ouest et tu adores ça (tu en as besoin ?).
C’est comme si quelqu’un n’avait mis une bonne tape derrière la tête, m’avait secoué gentiment et dit « alors, tu m’avais oublié ou quoi ? ».
La chaleur humide du bord de mer, les échoppes brinquebalantes bordant les routes défoncées, la conduite au klaxon, les éclats de voix, la musique… Puis les sourires, les poignées de mains et accolades chaleureuses, sincères et appuyées. La bienveillance, l’envie de faire plaisir, la facilité et la simplicité dans les contacts, les discussions.
Voilà. J’étais revenu. Certes dans un pays différent, avec ses particularités que j’avais hâte de découvrir, mais j’étais de retour.
Pour ma première soirée, j’ai donc découvert mes compagnons de routes, dont certains étaient déjà arrivés quelques jours plus tôt. Vu leur état de surexcitation, le séjour s’annonçait fort bien.
Après ce prélude convivial à Cotonou autour d’un verre, les choses sérieuses commencèrent le lendemain matin, avec deux jours de road trip intenses. Nature, rencontres et mob au programme.
De Cotonou à Tori Bossito : route des pêches et mangroves
Avant de vous embarquer avec moi sur les pistes du Bénin, il faut absolument que je vous explique comment j’ai atterri là. Pour la première fois de ma vie, je suis parti avec une agence de voyage : double sens. Oui, moi le voyageur indépendant jusqu’à en devenir caricatural.
Pourquoi ? Plusieurs raisons :
- leur philosophie m’a vraiment séduit. Des voyages en action, en immersion, sur des destinations vraiment originales, avec de beaux projets de solidarité à la clé et laissant une bonne place à l’autonomie
- j’étais curieux de découvrir le voyage en petit groupe, guidé. Être accompagné de guides locaux me semble pouvoir permettre de découvrir des endroits qu’on ne soupçonne pas, de faciliter la rencontre avec de belles personnes. A condition que ce soit bien fait, qu’on entre pas dans le côté « à la chaine » que peut engendrer la venue de nombreux voyageurs sur un même endroit
- la perspective de ne pas gérer la logistique, souffler un peu sur l’orga ne m’a pas déplu, l’espace d’un instant…
L’essentiel de ce road trip sur les routes du Bénin s’est déroulé au sud du pays. Une large part des habitants du pays réside le long de la côte qui s’étend sur une centaine de kilomètres.
Une piste, sans doute la plus connue du Bénin, attire l’attention des voyageurs : la route des pêches. Et pour cause, longeant la côte, cette piste sablonneuse concentre de multiples intérêts. Coincée entre un océan puissant et une lagune paisible, bordée de cocotiers, c’est avant tout une beauté naturelle. Mais c’est aussi une route séculaire, empruntée par les pêcheurs bien sûr, mais aussi les commerçants. Commerçants aux pratiques désastreuses à une certaine époque, puisque Ouidah, située sur la route des pêches, fut un haut lieu du commerce des esclaves.
Mon périple commence donc sur cette longue langue de sable. Une sacrée entrée en matière. Tout le long de la route, des cabanes de pêcheurs indiquent une activité intense. J’aperçois d’ailleurs des groupes impressionnants qui s’activent pour remonter sur la plage des filets aux dimensions gargantuesques. Certains peuvent faire plusieurs kilomètres de long et demander une centaine de personnes pour les remonter !
Pour se donner du courage et synchroniser leurs mouvements, musique et chants rythment la manœuvre.
Qui dit lagune en milieu tropical, dit mangrove. Ces forêts immergées de palétuviers constituent un environnement très particulier. Abritant crabes, poissons, oiseaux et autres bestioles, elles sont un rempart naturel à l’invasion de l’eau de mer lors des tempêtes. Le contraste entre l’océan et ses rouleaux fracassants avec le calme plat des lagunes à l’abri des mangroves est saisissant.
Après notre mise en bouche le long de la route des pêches, c’est au niveau du village de Houadoudji que nous avons eu l’occasion de naviguer entre les palétuviers pour rejoindre le Bab’s dock. Ce repère d’expats et de voyageurs offre une halte nature délicieuse. Je pars avec ma comparse de voyage Caroline en kayak explorer la lagune, trop curieux pour rester allongés dans un transat sous les palmiers. Nous croisons un pêcheur lançant son filet à la recherche de petits poissons et croisons quelques femmes en pirogue qui nous adressent un avertissement rugueux mais sympathique « pas de photos ! ».
Après cette tranquille escapade, nous ne résistons pas à l’envie d’une petite baignade dans cette eau paisible et chaude. Si la couleur de l’eau ressemble plus a du thé qu’au turquoise des lagons, elle n’en reste pas moins délicieuse. La vase caresse agréablement ma voûte plantaire, sensation que mes camarades ont l’air de moyennement apprécier ! Jusqu’à ce qu’un petit gommage de boue ne mette tout le monde d’accord.
Après le déjeuner, nous reprenons la route direction Tori Bossito où la partie plus aventureuse de ce road-trip va débuter : mon initiation à la moto sur les pistes du Bénin.
Initiation moto en mode orage : à la découverte des pistes de la route des pêches
Il ne faut pas longtemps pour s’apercevoir qu’en dehors des villes, les voitures ne sont pas légion. Sur les pistes, les motos sont reines. Les zem se faufilent bien plus facilement sur les chemins rouges en latérite. Si quelques grands axes sont goudronnés ou pavés, la majorité des routes sont en terre ou sablonneuses.
Alors pour s’initier à la pratique du deux roues, c’est parfait ! Surtout quand un orage interrompt votre baptême de moto…
J’avais bien conduit un petit scooter une ou deux fois, mais jamais avec des vitesses et encore moins sur route boueuse. Autant vous dire que les premières minutes, j’étais quelque peu crispé !
Puis la maîtrise venant, la piste séchant, j’ai pu commencer à lever le nez. Et là… Quel spectacle ! La vie sur les bords de route, les couleurs du ciel, de la terre, des végétaux, les sourires des passants.
Tout était extraordinaire, dans le sens littéral. Combiner la découverte d’un pays avec cette sensation grisante de la moto, c’était magique.
A la fin de la journée, ma seule frustration était de ne pas avoir encore suffisamment d’assurance pour répondre d’un geste de la main aux saluts des passants.
L’attitude des béninois que nous avons croisé m’a laissé penser que découvrir le pays en voiture fait probablement louper beaucoup de choses. En moto, on peut s’arrêter bien plus facilement quand quelqu’un vous appelle ou vous fait un geste. Quand une petite échoppe vous intrigue, quand vous voyez un beau point de vue etc.
Je me suis dit qu’à pied ou en vélo, ce doit être encore autre chose. Les rencontres doivent forcément être innombrables et passionnantes. A méditer pour un prochain séjour !
A la fin de la journée, rincé mais heureux, je n’étais pas mécontent de découvrir le sympathique campement « au bonheur de Dan » réalisé par des architectes français, à proximité du village de Gbovié.
Une halte en brousse, loin des tracas de la ville, un endroit pour se ressourcer en toute simplicité. D’ailleurs, les deux heures d’électricité et l’absence de réseau m’ont octroyé une petite déconnexion numérique bienvenue.
Sur les rives du lac Ahémé, le bien nommé
Au sud du Bénin, l’eau est omniprésente, entre l’océan, les lagunes et les lacs. Il faut dire qu’on se trouve en milieu tropical et que la saison des pluies est bien marquée.
Les lacs constituent un paysage que j’adore. La quiétude que m’inspire ces lieux doit correspondre à mon tempérament.
Au lac Ahémé, que nous avons longé en mob et traversé en pirogue, j’étais dans mon élément, les sens en éveil.
Le bruit des poissons qui sautent à la surface, d’une pagaie qui plonge dans l’eau, d’un filet qu’on lance, les oiseaux en fond sonore. Les rires des enfants sur les rives, en attendant d’embarquer nos motos sur une pirogue (oui, oui, ça se fait)…
La vision de cette étendue plane et vaporeuse, hérissée par endroits de poteaux et filets destinés à la culture des huîtres. Les berges verdoyantes parsemées de villages, tout concourrait à rendre ce moment simple et beau.
D’un côté et l’autre du lac, nous nous sommes posés dans deux lieux à l’ambiance très différente, comme deux visions d’un tourisme pour le Bénin se faisant face.
- Du côté de Possotomé, « chez Théo » est devenu le lieu quasi incontournable des touristes étrangers et des expatriés autour du lac Ahémé. Des petites cabanes sur pilotis, une piscine, un bel endroit tout confort. En revanche, il est plus difficile je trouve d’y ressentir l’ambiance propre au pays. C’est beau, c’est sympa, mais c’est un peu désincarné. Après, je n’ai pas boudé mon plaisir de piquer une tête dans la piscine ! Simplement, je l’ai trouvé en contraste avec le reste de ce road trip, un peu comme Bab’s dock que j’évoquais plus haut, moins « en immersion ».
- De l’autre côté, au zion chez Éric, l’ambiance est radicalement différente. A flanc de colline, avec une vue incroyable sur le lac, ce petit coin semble comme une bulle protectrice en dehors du temps. Le lieu est d’une simplicité salvatrice, une véritable invitation au désencombrement, aussi bien matériel que psychologique. Il m’a suffi de quelques minutes pour me sentir comme dans un cocon, mettant de côté tous les soucis, les inquiétudes pour simplement savourer l’instant présent et la beauté du lac en bonne compagnie. A la base, nous étions venus y faire un petit détour de 5 min pour dire coucou. Au final nous sommes restés presque deux heures…
Je suis intimement convaincu que lorsqu’on laisse derrière soit tous ses apparats, qu’on s’affranchit au moins momentanément des barrières que peuvent constituer tout notre attirail matériel, alors les protections tombent naturellement et on peut lâcher prise. Éric avec ce lieu incarné a su créer cet espace de convivialité, de bienveillance propice aux échanges sincères et à la détente. La vraie détente.
C’est un tour de force, car pour autant, le zion reste béninois jusqu’au bout des ongles : ouvert, chaleureux et imprévisible.
Vous aurez compris vers quel type de tourisme mon cœur balance… Alors quand j’ai appris que la route des pêches était en cours d’aménagement pour la goudronner et en faire une succession d’hôtels en bordure de mer, je me suis demandé si cela allait dans le sens d’un développement désirable. Je reprends ce terme cher à Paul avec qui je voyageais. Paul, avec sa famille, en était à son cinquième voyage au Bénin, à chaque fois avec l’agence double sens, dans laquelle ils sont très investis.
Derniers virages vers Ouidah
J’ai très vite compris que l’imprévu faisait partie intégrante d’un voyage au Bénin, sur la route des pêches comme ailleurs. Si certains seront déconcertés par cette part d’inconnu, c’est bien au contraire pour moi une composante fondamentale du voyage. J’ai du mal à concevoir un voyage où tout est planifié, millimétré, ordonné. J’aurai trop l’impression de ne faire qu’exécuter un plan, de cocher des cases pré-remplies. C’est d’ailleurs ce qui me fait peur avec les voyages organisés. Avec Laura, pendant un voyage nous sommes infoutus de prévoir plus de 3 jours à l’avance.
Pour le coup, je pense que même avec toute la bonne volonté du monde doublée d’une rigueur militaire, il est difficile de suivre un plan précis à la lettre dans un voyage au Bénin.
Et c’est tant mieux.
Il y aura toujours une rencontre imprévue, un souci mécanique, une envie spontanée d’aller voir ailleurs, un événement quelconque retenant notre attention. C’est ce qui rend les voyages uniques, ces petits plus, qui sont parfois des petits tracas, mais donnent du piquant au quotidien, laissent une petite part d’ « aventure », même si le terme est sans doute un peu fort.
Un orage ? Nous partons nous abriter chez quelqu’un avec qui taper la discut’. Une petite soif ? On s’arrête boire un verre dans un maquis, l’occasion d’aller découvrir le marc donald de Ouidah (non non, il n’y a pas de faute de frappe). On attend la pirogue ? Une séance photo endiablée avec les enfants du village peut s’engager, etc. etc.
Tout ça pour dire que le programme prévu pour cette dernière journée s’est trouvé amputé d’une bonne partie. Nous devions aller vers la rivière Couffo, rentrer vers Ouidah par des petites pistes en passant par le village de Guézin, mais tant pis, ce sera pour une autre fois !
Au final, nous avons emprunté une route goudronnée pour cette dernière portion, histoire d’être rentrés avant la tombée de la nuit. Nous longerons tout de même le lac Ahémé une dernière fois au niveau de Segbohoué un peu avant le coucher du soleil. C’est à cet endroit que se rejoignent la mer et le lac, donnant un superbe panorama. Des maisons sur pilotis, des récolteurs de sel, des pécheurs, complété par une myriade de hérons et de cormorans forment un paysage magnifique.
Quelques kilomètres plus loin, nous arrivons à Ouidah, notre destination finale. Ouidah, ville historique, épicentre de la religion vaudou et fortement marquée par la période de la traite négrière. Mais ce qui nous amène là, c’est avant tout un séjour chez Modeste qui tient un maquis en périphérie de la ville. Il y accueille des apprentis en cuisine et propose aux voyageurs des séjours en immersion et en action. Un beau programme en perspective…
La suite au prochain épisode !
Guide tourisme – la route des pêches au Bénin avec l’agence double sens
Ce voyage a été rendu possible grâce à l’invitation de l’agence double sens, qui a fait du Bénin sa première destination depuis 2006. Un signe qui ne trompe sur leur engagement en faveur d’un tourisme alternatif, durable, en immersion et en action (oui, tout ça !).
Le principe de déroulement de ce voyage au Bénin
Chaque voyage se fait en petits groupes, sur une durée d’une quinzaine de jours.
Une partie se déroule autour d’un projet où le voyageur se met en action, avec un projet de solidarité en toile de fond. Ici au Bénin en participant à la préparation des repas, en suivant des cours de cuisine au maquis de Modeste. Une partie du coût du voyage sert directement à financer la formation des apprentis présents dans l’école de cuisine.
La seconde partie du voyage se déroule en itinérance, afin de visiter d’autres aspects du pays, de découvrir ses paysages, sa culture, son ambiance.
J’ai trouvé cette articulation très intéressante. Si je suis plutôt itinérant dans l’âme lors de mes voyages, je suis souvent un peu frustré de ne pas approfondir les relations avec les personnes rencontrées sur la route. C’est bien dans cet objectif que double sens propose de rester une grosse semaine au même endroit, autour d’un projet, avec des activités culturelles en parallèle.
Valeurs, programme détaillé et tarifs
Vous pourrez retrouver le descriptif complet du voyage au Bénin sur leur site, ainsi qu’une présentation générale de l’agence et de leur philosophie.
A qui s’adresse ce type de voyage au Bénin
Il n’y a pas vraiment de restriction, à part être en capacité de tenir sur une moto pendant plusieurs heures (vous n’êtes pas obligé de conduire). Mais quand bien même, je pense que si la mob n’est pas votre truc, double sens pourra adapter son parcours.
En ce qui concerne les familles, c’est tout à fait possible de partir avec des enfants. Les conditions sanitaires et de sécurité sont très bonnes. Après je pense que les enfants profitent réellement de l’expérience à partir de 9-10 ans, c’est en tout cas ce que m’ont affirmé Pauline et Émilie, les deux ados présentent pendant ce séjour. Elles vivaient leur 5e voyage au Bénin avec double sens et en redemandaient encore !
Quelle est la meilleure saison pour se rendre au Bénin ?
Il est préférable d’éviter la saison des pluies, en particulier mai et juin. La saison sèche couvre la période de novembre à février, mais il fait un peu plus chaud. Cette chaleur étant renforcée par l’Harmattan, un vent sec en provenance du Sahara.
Au mois d’août, c’est la petite saison sèche, les pluies cessent quasiment. L’ensoleillement n’est pas aussi bon qu’en pleine saison sèche, mais les températures plus clémentes.
Ce voyage s’est effectué en partenariat avec Double sens et Air France, qui propose des vols direct Paris / Cotonou en 6 h. Nous les remercions pour cette invitation !
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Avant, j'avais un vrai travail dans le domaine de l'éducation à l'environnement... Maintenant, je raconte mes voyages et j'assouvis mon obsession de dénicher les meilleures bons plans. Ah, aussi je prends des photos et fais des petites vidéos.
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Je ne suis pas très adepte des voyages organisés mais je peux comprendre qu’en bon baroudeur ça fait du bien de se laisser guider une fois de temps en temps :) Je ne suis jamais du côté ouest du continent africain, c’est, à mon avis, assez différent de l’est, mais tu as réussi à me rendre nostalgique de l’Afrique, je me retrouve bien dans tes premières phrases, on a presque « besoin » de l’Afrique !
Tu as bien résumé mon sentiment !
Effectivement ce que j’ai pu apercevoir de l’Afrique de l’est est assez différent de l’ouest, mais il y a tout de même des valeurs communes :) et cette impression de vertige agréable, ce doux tourbillon dans lequel on se laisse emporter.
Je trouve qu’il y a très peu de blogueurs étranger venir en Afrique et encore moins au Bénin. Lire tes aventures au Bénin me fait réaliser à quel point ce pays est magnifique et à tant de choses à offrires . Tu pourra peut être faire un tours sur mon blog où je parle de ma vie au Bénin . http://www.dopydola.com
Salut !
Oui, je suis d’accord avec toi, il y a bien trop peu de blogueurs venant au Bénin et en Afrique en général. C’est bien dommage, car c’est selon moi une destination qui gagnerait vraiment à être connue.
J’irai voir ton blog avec plaisir.
De très belles images qui font rêver. Elles créent en moi la demande d’un souhait : que vous m’offriez un palais de quiétude pareil à votre article où la fin’amor soit un plaisir chaste délié de tout transgressif