Si nous avions tant rêvé de ce voyage au Sri Lanka c’était pour sa faune incroyablement riche et préservée. La possibilité d’offrir son premier safari à notre loulou de 3 ans a été un moteur puissant. En effet, dans pas mal de pays africains, réaliser un safari avec un enfant aussi jeune n’est pas possible. Au Sri Lanka, notamment à Udawalawe, pas de problème !
Un prélude encourageant à Uda walawa
Partis de Tangalle et la côte sud du Sri Lanka, nous arrivons dans la ville de Uda walawa (et non Udawalawe qui est le nom du parc national) après avoir prononcé son nom de toutes les manières possibles auprès des chauffeurs de bus et de tuk tuk. Malgré l’écorchure perpétuelle du nom, les chauffeurs nous comprennent, bien habitués à voir passer des visiteurs par ici. Je finirais quand même à réussir à énoncer correctement ce lieu une fois arrivés. Il n’y a pas de petites victoires.
Nous nous installons au Kula Kula où nous avons été invités. Nos bagages posés dans notre grande tente, nous ne tardons pas à aller explorer les alentours car les chants d’oiseaux résonnent dans les environs.
Un chant rauque et perçant que nous avons déjà entendu auparavant nous attire particulièrement. Je me laisse guider par ses tonalités et je ne tarde pas à m’apercevoir qu’il y a un couple de malabar hornbill juste à côté de moi ! Quel accueil… Peureux, ils prendront la fuite mais je pourrais continuer à observer leur discussion de loin et les voir évoluer dans leur milieu. D’autres oiseaux me gratifieront de leur présence discrète.
Ces premières rencontres sont encourageantes. Il me tarde que le soleil tombe tranquillement sur l’horizon pour entendre les oiseaux s’éveiller et la nature reprendre son concert nocturne. Sous une grande tente, nous dégustons notre délicieux repas, nous sommes les seuls occupants actuellement et le personnel, timide, est aux petits soins avec nous. Nous en profitons pour organiser notre safari pour le lendemain. Après moult hésitations et tergiversations, nous décidons de partir en safari en fin de journée plutôt qu’à l’aube. D’après le guide du camp, c’est mieux.
Observer les oiseaux sur la rivière Walawe à Udawalawa
Même si nous ne partons en safari que l’après midi, hors de question de faire la grasse matinée. En vérité, on aurait bien aimé mais c’était sans compter la dictature du réveil matinal de notre lémurien. Cela dit, il nous aura permis de faire une balade le long de la rivière Walawe. La belle affaire me direz vous ? En plein cagnard, nous longeons cette rivière et alors ? Eh bien, figurez-vous que cette rivière était visitée par de nombreux oiseaux. Dans l’eau, dans les airs, sur les berges, dans les arbres, des oiseaux partout !!! Une très belle surprise ornithologique, inattendue, comme le fût Mirissa.
Malgré que l’aube se soit dissipée depuis un moment, les martins pêcheurs de plusieurs espèces, les cigognes, les hérons, les guépiers, tout ce petit beau monde est bel et bien présent. Nous n’avons pas à avancer énormément pour apprécier le spectacle. Hélio, pas tellement d’humeur ce matin, perturbera un peu la quiétude du moment. Voyager avec un enfant, c’est aussi conjuguer avec une personnalité et son tempérament.
Nous nous arrêtons un moment pour apprécier plusieurs tableaux volatiles. Il y a ceux des martin pêcheurs, à l’affût, guettant les poissons. Pour le martin pêcheur commun et de smyrne, la technique consiste à se percher sur une branche. Quand au martin pêcheur pie, reconnaissable par son plumage noir et blanc, il stationne dans les airs patiemment. Ensuite, il tombe à pic rapidement, fendant l’air et l’eau de manière fracassante.
Le ballet des cigognes est aussi majestueux, elles planent silencieusement au dessus de la rivière. Leur rapidité les rend insaisissables pour nos appareils photos. Seul leur repos nous permet de leur tirer le portrait.
Au-delà des oiseaux, nous ne croiserons que quelques villageois, un peu curieux de nous voir traîner ici.
A la rencontre des éléphants au parc national de Udawalawe
Assommés par le soleil, nous retournons déjeuner au camp et nous reposer avant notre safari. Si Hélio est déjà venu de nombreuses fois observer les animaux avec nous, le safari est une première pour lui. Nous redoutons qu’il n’apprécie guère d’être enfermé dans un véhicule pendant plusieurs heures. C’est qu’à trois ans, on a la bougeotte.
Quand vient l’heure de partir, nous montons dans une jeep ouvertes aux sièges surélevées, véhicule qui ne manque pas de plaire à Hélio. Appareil photo prêt à déclencher, jumelles à portée de main, nous sommes prêts et excités comme des puces. Nous profitons de l’achat des billets de l’entrée du parc national pour dire à notre chauffeur-guide que nous sommes très sensibles au bien être des animaux. Nous préférons manquer un animal plutôt que de le voir cerné par des jeeps. On lui demande de ne pas forcément suivre les autres. Il sourit en me répondant que s’il y a des jeeps, il y a des animaux. Je lui précise que l’idée n’est pas d’être toujours seuls mais d’être vigilant à ne pas importuner les animaux. Il entend notre requête. Dès le début, il emprunte vite un sentier peu fréquenté.
C’est ici, à peine à 5 minutes de l’entrée du parc national d’Uda Walawe, que nous faisons connaissance avec les premiers éléphants, à seulement quelques mètres de nous. Il ne reste plus qu’à couper le moteur et à apprécier. S’ils sont moins impressionnants que leurs cousins d’Afrique que nous avons pu voir en Tanzanie, leur stature, leur regard reste aussi mystérieux qu’émouvant. Offrir ce moment à mon fils l’est d’autant plus. Je ne sais pas s’il mesure la chance qu’il a de vivre cet instant, mais en tout cas il apprécie. Durant ces quelques heures de safari, les éléphants jalonneront notre parcours. Souvent solitaires, se cachant dans les fourrées pour se délecter de feuillage ou traversant la route. Parfois en famille, se chahutant gaiement. Chaque fois l’émotion et l’étonnement restent puissants.
Résumer le parc national d’Udawalawe à la présence des éléphants serait réducteur. Quand l’œil reste curieux à toutes les possibilités, les cadeaux de mère nature apparaissent. Et à Udawalawe, ils ont été nombreux. En rédigeant cet article et en me replongeant dans les photos, j’ai mesuré l’opulence et la richesse de la nature de ce parc.
Les autres surprises animales de notre safari au parc national de Uda walawe
Lors d’un safari, j’ai toujours cette sensation étrange que tous mes sens se sont enclenchés en mode « super pouvoir ». J’ai tellement envie de ne rien manquer que je suis littéralement en alerte. Je scrute les moindres recoins du paysage, du sol jusque dans les airs. Ma connaissance des animaux et des milieux me permet de ne pas chercher au hasard. Les sons et mouvement sont aussi des alliés précieux. Bref, je suis en mode hypersensible.
Dans les mares boueuses, ce sont les buffles qui se prélassent. Leur allure débonnaire, leur ressemblance avec nos vaches bien françaises pourraient nous faire oublier que c’est un des animaux les plus dangereux de la planète ! Dans le monde, un buffle est plus souvent responsable d’accident envers les hommes que les éléphants, les crocodiles ou les félins. Rappelez-vous que cette bête pèse pas loin d’une tonne et qu’elle a la fâcheuse manie de se déplacer en troupeau, ça vous évitera peut être la tentation de faire un selfie.
Autre risque du buffle, être tellement accaparé par son charisme, qu’on en oublie de voir le crocodile patiemment dissimulé dans l’herbe à ses pattes. La photo suivante en est la preuve, j’étais en train de m’évertuer à prendre une photo (de bien trop loin) de ce buffle et de ces oiseaux sans me rendre compte qu’il y avait un énorme crocodile. C’est quand j’ai perçu un mouvement serpentant et finissant sa course dans l’eau que j’ai compris. D’ailleurs sans le vouloir j’ai filmé la scène !
Heureusement j’étais suffisamment loin et bien protégée dans la jeep pour éviter que mon manque d’attention ne m’amène à finir en pitance pour crocodile. Je ne peux pas en dire autant de ce rongeur, difficilement identifiable qui termina son existence, dépecé par le bec acéré de cet aigle huppé. Une scène rare à la fois fascinante et dégoûtante. Nous avons pu assister au festin dans son intégralité et sous toutes ses coutures. Les autres oiseaux du parc, très nombreux ont été plus cléments et nous ont gratifié de visions plus sereines et pacifiques.
Habitués aux passereaux, les échassiers du Sri Lanka passent pour des géants à l’instar du coloré jabiru ou de l’énigmatique cigogne épiscopale. Cette dernière continue de me fasciner avec son sourire discret et son œil plus gros que son oreille (conduit auditif pour être plus précise) !
Dans le genre insolite, nous aurons le droit à une autre curiosité rare de la part de perruches. Sur la même branche, nous avons pu voir des perruches vertes et jaunes d’espèces différentes. La perruche jaune est très rare dans le parc et il est encore plus inhabituel de les voir interagir avec les perruches vertes.
Au fur et à mesure de nos exaltations, la lumière décline et se rosit, caressant la beauté des paysages et des animaux du parc national d’Udawalawe. Notre ultime cadeau sera un ciel prophétique.
Guide pratique : préparer et choisir son safari à Udawalawe
Où dormir à Udawalawe ?
Comme nous le disions en préambule, nous avons été invités au Kula Kula Resort. Il s’agit d’un camp dans un coin boisé disposant de différentes grandes tentes en toile placées sur des plateformes en bois. Les tentes possèdent une chambre et une petite salle de bain attenante avec douche et toilettes, en mode glamping. C’est un type d’hébergement assez répandu autour de Udawalawe, avec une qualité très variable. Le cadre est sympathique même si nous nous attendions à un site un peu plus sauvage.
Le personnel était aux petits soins avec nous mais un petit peu trop timide à notre goût. Ce camp est à l’extérieur de la ville, vous n’aurez pas d’autres choix que de manger sur place si ne prévoyez pas à l’avance. Il faut très logiquement prévenir et commander à l’avance les repas. mais ça tombe bien, ils sont très bons !
Nous avons passé 2 agréables nuits dans cet hébergement. Le tarif est plus important que dans les hébergements classiques du Sri Lanka (125 $), mais c’est le cas pour tous les hébergements de type « glamping » de qualité dans la nature, et cela comporte la demi-pension.
MAJ juin 2022 : le camp ne propose apparemment plus de réservations… Mais pas de panique, il existe de nombreuses autres options similaires autour d’Udawalawe
Comment se rendre à Udawalawe ? Trajet Tangalle à Udawalawe
Depuis Tangalle, il y a deux possibilités en bus
- Bus direct entre Tangalle et Udalawe, pour cela il faut prendre un bus en direction de Rathnapura. Il n’y en a que quelques uns par jours donc renseignez-vous sur les horaires à l’avance ou misez sur un coup de chance.
- Passer par Embilipitiya : prendre un premier bus Tangalle – Embilipitiya (1h30, Environ 70 Rp ) puis Embilipitiya – Udawalawe (45 minutes, environ 50 Rp par personne). Il a des bus très fréquents donc pas de souci concernant les horaires.
Puis négocier un tuk tuk jusqu’à votre hébergement.
Où observer gratuitement des oiseaux à Uda walawe ?
Le long de la rivière Walawe, vous pouvez marcher et faire de très belles découvertes.
Organiser son safari à Udawalawe, quelle agence choisir ?
A Udawalawe, les safaris sont en général organisés par votre hébergement. Le gros souci c’est que tout est fait pour que vous ne partagiez pas votre jeep avec d’autres, même si votre véhicule n’est pas plein. En effet, pendant notre safari, nous n’avons vu aucune jeep remplie, la majorité comportait 2 passagers pour 6 places ! C’est assez rageant d’un point de vue écologique et bien être des animaux. Si vous êtes dans une guest house avec d’autres personnes, essayez de mutualiser en disant que vous êtes un groupe, c’est moins cher et plus durable.
Le tarif des bilelts d’entrée du parc sont de 3500 roupies par personne.
Ensuite, les prix pour la visite sont très variables. Cela dépend de la durée, si vous êtes en groupe, de la taille du groupe, de la présence d’un chauffeur ou d’un chauffeur / guide, d’un chauffeur ET d’un guide, de leur expérience etc.
Du coup, cela peut aller de 35 € à plus de 100 € par personne selon votre niveau d’exigence. L’expérience peut être très différente selon les conditions du safari, cela peut valoir la peine de mettre un peu plus cher pour vraiment en profiter.
Sur place, ce n’est pas facile de choisir un prestataire sans connaitre de réputation ces derniers. Généralement les visiteurs passent par leur hébergement pour organiser leur safari.
L’autre option, c’est de réserver à l’avance en choisissant parmi les prestataires les plus réputés. Nous vous conseillons celui indiqué ci-dessous qui possède une solide réputation et offre un bon rapport qualité prix
réserver un safari au parc national d’Udawala (6 personnes max avec chauffeur ET guide expérimenté) – petite astuce : prenez l’option avec billet pour économiser sur le tarif global, vous pourrez le prendre à l’entrée du parc en démarrant le safari
Conseils pour faire un safari avec un enfant au Sri Lanka
Notre fils avait 3 ans quand il a réalisé ce safari. Depuis nous avons réalisé plusieurs safaris parfois d’une journée entière. Voici nos conseils si vous réalisez un safari avec un jeune enfant (- de 7 ans) .
- Commencer par un safari de courte durée (2 à 3h) pour voir de quelle manière agit votre enfant
- Préférez un safari en fin de journée pour éviter de le réveiller trop tôt.
- Préparez votre safari avec votre enfant, parlez lui de ce qu’il pourra voir, la manière dont cela va se passer, pourquoi il faut respecter certaines règles … de manière à susciter son intérêt
- Impliquez le pendant le safari, commentez ce que vous voyez, expliquez lui ce qui se passe, guidez son regard, faites des petits défis comme celui qui trouvera un animal en premier etc… afin que cela soit le plus ludique possible
- Prenez un petit jeu ou une autre distraction pour les moments où votre enfant aura une baisse d’attention
- Prévoyez de quoi satisfaire les besoins primaires de votre enfant (eau, encas, vêtements adaptés). Plus votre enfant sera dans des conditions confortables, mieux cela se passera.
Quand partir en safari à Udawalawe au Sri Lanka ?
La saison sèche de mars à octobre est la plus propice pour observer les animaux. Privilégier les mois où il y a le moins d’affluence touristique pour vivre une expérience encore plus agréable.
En ce qui concerne le meilleur moment de la journée, il est clair qu’il y a deux possibilités, à l’aube ou avant le coucher du soleil. Nous avons pas mal hésité et après avoir entendu plusieurs témoignages sur l’affluence du matin, nous avons choisi la fin de journée. Nous n’avons pas été déçu de ce choix.
Question piège : parc national Udawalawa ou Yala pour un safari ?
Si vous projetez un voyage au Sri Lanka et voulez faire un safari dans le sud du pays. Cette question vous vous la posez forcément : vaut-il mieux choisir de faire un safari à Yala ou à Udawalawe ?
Ayant choisi Udawalawe, vous connaissez forcément notre réponse. Les raisons de notre impasse sur le parc national de Yala sont assez simples.
Nous nous sommes décidés sur place après en avoir discuté avec des voyageurs, des guides, diverses personnes rencontrées sur la route. Ce qui revenait tout le temps sur Yala, c’est que c’est un des plus beaux parcs du pays, avec une faune exceptionnelle et même des léopards, mais qu’il est vraiment surfréquenté.
A Udawalawe, il n’y a pas de léopards, mais les éléphants sont là en nombre et surtout il y a beaucoup de monde, moins de jeeps. S’il y en avait quand même pas mal à notre goût, c’est a priori rien du tout par rapport à Yala qui accueille chaque jour plusieurs centaines de jeeps sur un petit territoire. En fait, seule une toute petite partie du parc national de Yala est explorée par les jeeps pour la plupart des safaris (tant mieux !). Ce qui fait que les animaux sont en permanence harcelés par une horde de jeeps. Les guides et voyageurs nous racontaient qu’il y avait des embouteillages au sein du parc, avec parfois des comportements peu professionnels des guides (poursuite d’animaux en voiture, dérangement de la faune…). Quelques jours avant ou après notre visite d’Udawalawe je ne sais plus, un couple de touristes est descendu d’une jeep pour faire un selfie avec des éléphants. Ils sont morts piétinés. Le plus dingue, je ne sais pas si c’est l’inconscience de ces touristes ou celle du guide les accompagnant.
Cette surfréquentation s’explique par les tous opérateurs qui incluent ce safari dans les circuits au Sri Lanka. Beaucoup des voyageurs passant par ces agences de voyage en groupe viennent pour du tourisme balnéaire et ce safari n’est forcément ce qu’ils viennent chercher.
Bref, vous aurez compris nos motivations !
L’alternative à Yala et Udawalawe ? Avec léopard à la clé et sans la foule ? Le parc de Wilpattu
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Beau safari.
Mais une question me taraude à chaque fois que je vois des photos de ces safaris au Sri Lanka : comment se fait-il que les éléphants de là-bas paraissent si « rachitiques » ? On dirait qu’ils n’ont que la peau sur les os… Pourtant, à priori la nature luxuriante semblerait être suffisante pour qu’ils mangent à leur faim. C’est vraiment un truc que je n’arrive pas à comprendre.
Vous avez une explication ?
C’est peut être car ce sont des éléphants d’Asie que cela te donne cette impression là. En tout cas quelque soit l’espèce d’éléphant, ils ont souvent les os saillants (ce qui est normal). Je pense que les éléphants sur la photo sont en bonne forme. Ensuite, il peut y avoir une variation de poids en fonction de la saison.
je ne sais pas trop quoi en penser, car ça ne m’avait pas fait le même effet la première fois que j’ai vu des éléphants d’Asie en Thaïlande. C’est vrai qu’ils sont plus petits et ont quelques différences avec les éléphants d’Afrique. Mais bon…
Si un jour je vais au Sri Lanka, j’essaierai de comprendre. Peut-être que de les voir en vrai ne me fera pas la même impression ? Les photos sont parfois trompeuses. en tout cas les tiennes, elles sont toujours aussi superbes !